WHERE IS THE BRETZEL LEBOWSKI ?

Tout d’abord, joyeux noël à tous! 

j’ai toujours adoré les bretzels, sans aucun doutes mes origines voisines de l’alsace qui pointent le bout de leurs nez à chaque fin d’années. Je ne pensais pas que c’était aussi facile (et BON) à faire! j’en profite pour glisser le PRETZEL (avec un grand P) géant que j’ai mangé au madison square garden en avril. je crois qu’en fait un pretzel, c’est juste un bretzel qui est tombé dans la marmite quand il était petit. ils sont absolument gigantesques. et celui ci avait un doux goût fumé 😉 

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J’ai proposé mes services au bar où mon bien-aimé travaille, tous les lundis désormais et pour une durée non déterminée on offre des bretzels jusque à épuisement des stocks…

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pour une grosse dizaine de bretzels (moelleux à souhaits): (FAIT AU ROBOT)

630g de farine

355ml d’eau tiède

60g de beurre mou

1 cuillère à soupe de sucre

1 sachet de levure boulangère

2 cuillère à soupe de sel

de l’huile

pour le pochage

un faitout au 3/4 d’eau, 160g de bicarbonate

pour la dorure et la déco (et le goût un peu aussi…) : un 1 jaune d’oeuf dillué avec un peu d’eau, et aux choix, gros sel, fromage rapé, pavot, sésame, piment d’Espelette….

Mettre la farine, l’eau, le sucre, le sel, la levure et le beurre mou dans le robot, pétrire 5-10 minutes, du moins jusque à ce que la pâte se décolle des bords et ai un aspect lisse. Retirer le pâton du bol, et le mettre de côté. Nettoyer le bol, et l’huiler. remettre la pâte, couvrir, et laisser lever 50 minutes dans un endroit chaud. Dégazer la pâte en la pétrissant à la main, et former des boudins de pâtes pour donner leurs formes aux bretzels. c’est en fait très simple, et un petit schéma vaut mieux que plein

de grands mots.Image

Préchauffer le four à 215 degrés, pocher chaque bretzels une trentaine de seconde dans l’eau portée à ébullition, ils auront une petite croûte brillante et lisse. Les badigeonnez du mélange oeuf-eau, saupoudrez de ce qu’on veut, enfournez 14 minutes, se servir une bière, et dégustez les dès la sortie du four 😉 enfin presque.

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Très bonnes fêtes à tous…

Et si certains Montpellierains ne savent pas quoi faire de leurs lundi, rendez vous 4 rue Bernard Délicieux ! c’est à 5 minutes à pieds du corum, et ils ont de la bière, de la bière et encore de la bière! (et surtout, le sourire)

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non définitivement, on ne se lasse pas du Dude 😉

 

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Il y a trois façon de faire les choses en cuisine : la bonne façon, la mauvaise façon et ma façon.

(citation de Casino totalement adaptée à la situation, bisous tonton Scorsese)

La bonne façon, la madeleine classique.

la mauvaise façon la madeleine au chocolat (je la trouve fade)

ma façon, la madeleine au piment d’espelette.

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J’ai testé les trois ce soir. Et la madeleine nature est indiscutablement indémodable, Proust ne me contredira pas. Celle au chocolat m’a laissé sur ma faim, le goût n’est pas assez prononcé, mais celle au piment efface toute déception, ce n’est qu’une fois avalé qu’on a une douce chaleur en bouche!

pour deux plaques de madeleines au piment d’Espelette (une trentaine) :

200g de Sucre

200g de Farine

190g de beurre fondu

Un sachet de levure chimique

Une pincée de sel

5 oeufs

2 cuillère à soupe rase de piment d’Espelette

200g de chocolat

Mélanger le sucre, la farine, la levure, le sel et ajoutez le beurre et les oeufs, un à un, en mélangeant bien entre chaque ajout. Faire fondre le chocolat, l’ajouter à l’appareil avec le piment.

Enfournez 15 minutes à 175°c.

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Sinatra, amour et pancakes Marabout

J-13 avant mon départ pour New-york

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j’en profite pour partager la meilleure (et de loin) inratable recette de PANCAKES

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La recette vient de mon livre préférée concernant les desserts et autres coquineries.

(même Neil est conquis)

Je suis une grande fan des livres marabout (ils hantent mes étagères et menacent bientôt de les faire céder) mais celui ci est spécial. C’est à dire que je n’ai jamais, pas une seule fois, au grand jamais, été déçue ou raté une recette. Tout est bon, doux, magique, émouvant, gras, sucré, attirant, potentiellement sensuel. JE M’ÉGARE.

C’est un peu ma référence quand j’ai envie de plaisir qui dégouline en bouche :

mentions spéciales pour leurs cheesecake classique et carrot cake ❤

je pense que c’est l’usage du lait fermenté qui fait toute la différence : ils sont légers et délicieux sans artifices. Mais je ne me passerai personnellement jamais de beurre ni de sirop d’érable (et de nutella…….tout ça non mélangé bien entendu)

Pour réaliser une dizaine de pancakes de taille raisonnable (à savoir que chez eux, ils sont tout simplement gigantesque, à nos yeux ça se rapprocherait plus d’une crèpe épaisse!) il vous faut :

190g de Farine

1 sachet de levure chimique

1 cuillère à soupe de sucre en poudre

une demi cuillère à café de sel

220g de lait fermenté

2 oeufs

80 de beurre fondu

une demi cuillère à café d’extrait de vanille liquide

(j’ai adapté la recette en fonction de ce que j’avais au placard)

Mélanger d’abord les ingrédients secs (levure, farine, sucre, sel…) ensemble, séparément : les ingrédients liquides, et les incorporer à la première préparation, fouetter le tout, mais laisser un peu de répi aux grumeaux autrement vos pancakes risquent de durcir si la pâte est trop lisse

Faire chauffer une poêle à pancake  (la toute petite dont on ne se sert jamais) sur feu moyen avec un peu d’huile, veillez à ce que la poêle soit suffisamment chaude : le dessous doit parfaitement être doré, et le dessus doit commencer à faire des bulles. Retourner avec une spatule faire cuire l’autre coté une quarantaine de secondes (le second coté doit être cuit moins longtemps que le premier)

enchainez jusque à épuisement de la pâte, et bon appétit 😉

à servir au goûter…et surtout au petit déjeuner!!

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